Deux Lions au soleil
Apparence
Deux Lions au soleil
Réalisation | Claude Faraldo |
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Scénario | Claude Faraldo |
Acteurs principaux | |
Pays de production | France |
Genre | Comédie dramatique |
Durée | 110 min. |
Sortie | 1980 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Deux Lions au soleil est un film français réalisé par Claude Faraldo, sorti en octobre 1980.
Synopsis
[modifier | modifier le code]À la suite d'une panne de voiture sur la route du retour des vacances, Paul et René, deux quadragénaires lassés de leurs illusions perdues, décident de devenir des lions et de partir vers le soleil. Refusant dorénavant le travail à l'usine, le métro, la routine, ils vont vivre de petites escroqueries et rencontrer l'amour au détour de leur aventure.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre : Deux Lions au soleil
- Réalisation : Claude Faraldo
- Scénario : Claude Faraldo
- Musique : Albert Marcœur et François Ovide
- Montage : Dominique Galliéni
- Photographie : Bernard Lutic
- Prise de son et mixage : Dominique Dalmasso
- Assistants réalisateur : Patrick Grandperret, Vincent Lombard, Luc Besson
- Production : Stéphane Tchalgadjieff
- Pays d'origine : France
- Langue originale : français
- Format : couleur - 1,66:1 - mono - 35 mm
- Genre : comédie dramatique
- Durée : 110 minutes
- Date de sortie : (France)
Distribution
[modifier | modifier le code]- Jean-François Stévenin : Paul
- Jean-Pierre Sentier : René
- Catherine Lachens : Babette
- Jean-Pierre Tailhade : le volviste
- Martine Sarcey : la femme du parc
- Michel Robin : l'homme du parc
- Valérie Kling : Mireille
- Alain Doutey : le directeur de la banque
- Jeanne Herviale : la logeuse
- Nathalie Jadot : la fille de René
- Guilhaine Dubos : Babette, fille de René
- Mario D'Alba : un copain
- Dominique Bonnaud : le garçon du motel
- Georges Trillat : le mari de Mireille
Accueil critique
[modifier | modifier le code]- Jean-Luc Douin dans le journal Le Monde : « Deux Lions au soleil passe du ras-le-bol à un réalisme social désespéré. On détecte une tendresse dans cette errance entre deux prolos homosexuels qui décident d’arrêter de travailler et vivent leur désenchantement sans agressivité, découvrant que l’escroquerie ne vaut pas mieux que la misère »[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Jean-Luc Douin, « Claude Faraldo, cinéaste », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :